HOMME A TOUT FAIRE étudie la fenêtre en tant que lieu du voyeurisme et de la surveillance. Avec son caméscope, Nelson HENRICKS filme deux ouvriers dans la cour intérieure de son immeuble. Sa façon de filmer donne une sensation étrange et impalpable en traitant le corps masculin comme un objet érotique. Ces prises de vues constituent la base d'une vidéo qui tente d'impliquer le spectateur dans des processus d'exhibitionnisme et de fétichisme. HOMME A TOUT FAIRE fait partie d'une trilogie d'oeuvres explorant l'une des principales métaphores de la vidéo : la fenêtre.
HANDY MAN examines the window as a site of voyeurism and surveillance. With his Hi8 camera, HENRICKS documented two workers in his interior courtyard. The camerawork has a secretive and furtive feel, treating the male body as an erotic object. This footage forms the basis of a video which attempts to implicate the viewer in processes of exhibitionism and fetishization. HANDY MAN is part a trilogy of works which explore one of the main metaphors of video : the window.
