"Je n'avais pas d'autre choix que de me lancer, pas de plan B, rien du tout à part mon objectif de danse. Donc je me suis concentré dessus à 100%", raconte à l'AFP.
Il y a de la success story dans le parcours de Lil Buck, danseur prodige réchappé des gangs et de la misère du Tennessee. Des vestiges du Crystal Palace, haut lieu de la nuit locale entre 1981 et 2015, à la Fondation Vuitton, la caméra suit son pas élastique et son sourire radieux.
source : https://www.on-tenk.com/fr/documentaires/musique/lil-buck-real-swan